🎧 Le problème c’est pas Spotify, c’est le volume de ton master…

🎧 Le problème c’est pas Spotify, c’est le volume de ton master…

Tu crois que Spotify te boycotte ?
Tu refreshes ta page d’artiste toutes les heures en mode parano ?
T’as cliqué sur “Mastering” dans ton DAW, t’as collé un limiter et t’as cru que t’étais Mike Dean ?

Frérot, respire.

Le problème, c’est pas l’algorithme.
C’est pas non plus “le public qui comprend rien à la vraie musique”.
C’est ton mix bancal et ton master bouillie.

😵💫 Ce que t’appelles “mastering”, c’est juste du bruit fort

Tu mets un plugin de mastering parce que t’as vu un tuto en 7 minutes sur YouTube, et t’espères que ça va sauver un mix que t’as fait avec des AirPods et zéro repère d’équilibre.
Spoiler : ça marche pas.

Tu satures tes transients. Tu bouffes la dynamique.
Résultat ? Ton morceau est fort, oui. Mais aussi agressif, brouillon, et fatiguant à écouter.

🎯 Le mastering, c’est pas une option magique

Le mastering c’est un art. C’est le vernis final. Mais si la peinture est moche en dessous, ça sert à rien.

Avant de parler de master, pose-toi les bonnes questions :

  • Ton mix est-il équilibré entre les graves et les aigus ?
  • Tes vocaux sont-ils bien calés dans l’instru ?
  • T’as laissé assez de headroom ?
  • T’as vérifié en mono ? En voiture ? Dans des écouteurs nuls ?

Si la réponse est non, ton problème n’est pas le mastering.
C’est le mix. Et ça, c’est une étape à part entière.

🧠 Tu veux un vrai rendu pro ? Délègue.

Quand t’es au début, tu gagnes un temps fou en déléguant certaines étapes.
Faire ton propre mastering alors que t’es pas encore solide en mix, c’est comme vouloir faire ta propre peinture murale alors que t’as même pas acheté de pinceau.

Laisse un ingé son pro masteriser ton morceau. 
Tu comprendras à l’écoute ce qu’il te manque. Et tu progresseras 10 fois plus vite.

🚀 Besoin d’un coup de main ?

Si tu veux envoyer un mix solide ou un master pro qui sonne comme les vrais, j’ai ce qu’il te faut :

Fais pas les choses à moitié. Fais-les bien.
Et tu verras : le problème, c’était pas Spotify.
C’était juste toi qui te pressais trop vite.

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